Le syndrome du provincial qui arrive à Paris

Le week-end dernier, en discutant sur facebook de mon état de santé de ces derniers temps avec un parisien de longue date, je me suis pris (à peu près) cette réflexion dans les dents:

Ha bah ça, c’est le syndrome du provincial qui arrive à Paris : toujours malade et qui compte profiter au maximum de sa vie culturelle!

Bah… à vrai dire, question santé, c’est pas faux! Je suis vraiment pas gâté depuis que je suis ici. On critique souvent le grand Nord, mais les température ont été limite polaires ces derniers temps.

Entre les angines à répétition (toutes les 3 ou 4 semaines, si vous voulez me voir, dépêchez-vous, la dernière date d’une semaine!), la gastro pile avant la crémaillère et le nez en fontaine de ce week-end, c’est pas glamour à Lamarck-Caulaincourt!

Alors, que faire en attendant que mon corps fragile s’habitue? Sortir avec une cagoule, mettre des gants, me désinfecter les mains toutes les quinze minutes, ne plus prendre le métro, porter un masque sur le nez… ou alors manger beaucoup de fruits et attendre que ça passe!

Allez, au pire j’en ai pour combien de temps? Un an à être malade? Rendez-vous en décembre 2009 😉