Une bombe contre Jean Sarkozy, le fils à Papa

J’apporte moi aussi ma pierre à l’édifice lancé par Luc Mandret sur son blog pour parler un peu de notre cher Jean Sarkozy. Par cette action, le fils à papa va avoir droit à un joli Google bombing…

N’hésitez pas à relayer l’action. Il faut mettre un lien Jean Sarkozy avec un lien vers http://fr.wiktionary.org/wiki/fils_à_papa et un lien fils à papa avec qui pointe vers http://www.jeansarkozy.org/ .

N’hésitez pas à voir l’article original chez Luc Mandret.

[Article sponsorisé] Badoit invite des artistes à table

La célèbre marque d’eau pétillante Badoit mène une nouvelle campagne pour impliquer ses clients dans la création de sa future bouteille de Noël. On le sait, la période des fêtes de fin d’année est propice aux créations les plus originales sur les bouteilles d’eau de table. Certaines marques en font même des objets à collectionner. Pour les fêtes de fin d’année 2009, le packaging badoit compte devenir la star des tables chics.

La marque Badoit a donc fait appel à des élèves des Beaux Arts pour créer une série de visuels afin d’habiller ses bouteilles en verre. Une première sélection a été opérée afin de choisir les vingt meilleurs visuels. Et depuis le 20 avril, les internautes sont invités à se rendre sur le site de Badoit pour découvrir les vingt visuels retenus, et voter pour leur visuel préféré… avec des cadeaux à gagner à la clé. Si vous êtes sélectionné, vous pourrez gagner un week-end pour aller découvrir les trésors artistiques de la Grosse Pomme : New-York! Sinon, 500 bouteilles de Badoit seront également mises en jeu et disponibles en avant première.

De mon côté, mon visuel favori est le numéro 3, de Timothée Talard:

 Vous avez jusqu’au 31 mai pour aller voter. Un jury composé de Henri Jobbe Duval (directeur de Art Paris),  Kamel Mennour (Galeriste parisien), Sandra Muliez (Mécène), Gilles de Burre (Critique d’art) et de représentants de la marque désignera l’étudiant gagnant du prix de 1.000 euros. Les 20 créations sélectionnées seront ensuite exposées lors des journées portes ouvertes des Beaux Arts de Paris, les 26 et 27 juin 2009, puis partout en France dans le cadre d’une exposition itinérante.

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[Article sponsorisé] Avec Pumbby, votre portable peut vous faire gagner de l’argent

L’idée de la publicité rémunérée n’est pas nouvelle, surtout sur Internet. L’idée de gagner de l’argent grâce à un service que l’on paye a pris son envol avec l’arrivée du Web dans les foyers. Le modèle classique qui dominait alors était celui de la publicité qui servait à payer un service majoritairement gratuit, comme pouvaient l’être la télévision privée (qui, rappelons-le, ne perçoit pas de redevance) ou les radios.

Ici, l’idée est de monétiser son mobile. Une expérience déjà tentée par un opérateur qui avait lancé un forfait dont les communications étaient financées par des plages de publicité… et qui n’avait pas vraiment marché. Le système proposé par Pumbby est différent, puisqu’il est indépendant du forfait, de l’opérateur, et du téléphone. Les créateurs de Pumbby sont partis du constat que d’après une étude Ipsos MediaCT réalisée pour Pumbby (Mars 2009) : plus de 3 français sur 4 sont équipés d’un téléphone mobile. Partant de ce constat, pourquoi ne pas se servir du téléphone portable comme nouveau canal publicitaire?

Pummby propose aux utilisateurs d’accepter de recevoir des publicités directement sur leur mobile, en payant la visualisation de ces publicités jusqu’à 35 centimes par publicité. On cumule alors ces sommes sur un espace personnel et a ensuite le choix de reverser ses gains sur son compte bancaire par tranche de 20 € ou d’opter pour des cadeaux tels que des places de cinéma, des cartes prépayées, des jeux vidéo en ligne, des DVD, des SMS gratuits, …

Créer son compte est un jeu d’enfant, je l’ai fait en moins de deux minutes. Et en plus, en parrainant des amis, il est possible de ganger un iPhone en ce moment!

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Jay Brannan live in Paris

Ceux qui ont vu Shortbus connaissent déjà Jay Brannan,  comme acteur. Mais depuis plusieurs mois, on peut voir ses vidéos sur Dailymotion ou YouTube.

C’est donc en live depuis ses toilettes que j’ai admiré Jay pour la première fois! Sa musique est plutôt folk, posée, idéale pour regarder la pluie tomber avec un chocolat chaud à la main, ou contempler un coucher de soleil sur Paris avec un thé rouge fumant…

Jay Brannan

Lorsque j’ai reçu un mail de Toli pour me dire que Jay Brannan était de passage en France pour sa tournée… Je n’ai pas hésité longtemps, j’ai tout de suite commandé ma place.

Un concert de Jay Brannan, c’est un  instant magique. J’étais assis au troisième rang, en train de le regarder pendant plus d’une heure faire l’amour à sa guitare. Et aussi parler, en toute simplicité, de son étonnement de certaines choses en Europe, de sa vie en tournée, de l’auto-production de son premier album… et de son travail qu’il ne veut pas rejoindre à la fin de l’année!

Si vous n’êtes pas encore fans de Jay, je vous conseille d’aller faire un tour sur son MySpace. Et si vous voulez le soutenir pour qu’il ne retourne pas à son job ingrat à la fin de sa tournée… allez acheter son album sur l’iTunes Store!

Avis à la population…

Tout d’abord… pardon pour mon absence de ces derniers temps. Entre le changement d’école, le nouveau job, le changement de ville, d’appart… Je n’ai pas eu beaucoup de temps pour souffler!

Et puis, ça fait des mois que je me dit qu’il faut que je change de blog. C’est en cours de migration (bien avancée cette fois-ci).
J’abandonne cette vieille plateforme Dotclear 1.2 pour la toute nouvelle rutilante Dotclear 2…

Il risque d’y avoir quelques perturbations ici, alors attachez-bien vos ceintures! Pour les technophiles qui veulent être sûrs de ne pas me perdre dans la bataille, je leur conseille de s’abonner à mon flux feedburner http://feeds.feedburner.com/jusquici qui ne devrait pas subir beaucoup de perturbations…

Et promis, le prochain billet sera beaucoup plus rapide à venir!

Nouveau nid à Paris

J’en ai déjà parlé ici, mais je ne l’ai encore jamais montré.
Mon nouvel appart (le point marché A) se trouve à deux pas du Sacré-Cœur (le truc blanc à la droite de la photo pour les incultes :p ).

Paris XVIIIème

Un quartier sympa, plutôt calme, avec plein de restos et de bars à tester!

L’immeuble lui aussi est plutôt sympa, il date du début du XXème et possède une entrée Art Nouveau assez remarquable.

En haut à droite (oui oui, sixième étage sans ascenseur… ça muscle les fesses) vous pouvez apercevoir la fenêtre de ma chambre… vu que le séjour donne sur l’arrière de l’immeuble.

Alors… Rendez-vous le samedi 1er novembre pour la crémaillère?… 😉

Merci au blog Paris 1900 pour les photos.

[article sponsorisé] Footlocker lance Adidas Bounce

Il est difficile en ce moment de prendre le métro sans voir dans les couloirs les affiches de la nouvelle campagne menée par Footlocker et Adidas: Bounce.

Footlocker propose en ce moment une collection inédit de baskets adidas Bounce qui se veulent au top de la tendance et de la performance… et le moins qu’on puisse dire, c’est que Footlocker fait tout pour mettre en avant ces modèles exclusifs en terme de communication.

Bon… Soyons clairs: je ne me voit pas porter ça pour aller bosser… mais avouez que pour faire du sport (après tout, les chaussures de sport c’est quand même un peu fait pour ça) c’est plutôt stylé et ça a l’air confortable!

Cette collection inédite Adidas Bounce pour Footlocker se base sur le modèle du même nom… totalement relooké pour l’occasion. Si ce qui se voit à été totalement repensé pour coller au mieux aux dernières tendances streetwear, ce qui ne se voit pas a aussi bénéficé d’un traitement de faveur!

Le soin du détail d’Adidas et Footlocker va jusqu’à proposer des chaussures avec un intérieur relooké de façon inédit, tout comme les semelles des chaussures.

Avec ses textures telles que des mailles filet renforcées de cuir métallisé, ou les revêtements aux finitions tendance, il y a forcément un modèle dans la gamme qui vous plaira!

Toute une partie du site de Footlocker est dédiée à cette ligne Bounce et présente les différents modèles en vente, ainsi que ceux à venir dans cette ligne qui vous propose de prendre un avantage déloyal sur vos adversaires du quotidien.

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Retrouvailles

Ce qui est drôle dans les retours à la maison, c’est de croiser des gens qu’on a perdu de vue depuis longtemps… et que la technologie (genre Facebook ou Copains d’avant) ne nous a pas refoutu dans les pattes permis de retrouver.
Ca m’est arrivé pas plus tard qu’hier.

Môman et moi étions chez le photographe pour des photos d’identité quand soudain…En un regard, il m’a reconnu. La chirurgie esthétique doit vraiment être très mauvaise pour qu’on me reconnaisse encore maintenant… Ou alors il va falloir que je perde encore 35kgs.

C’était Jonathan. On était ensemble au collège, puis on s’est perdu de vue au fil du temps (ie, à partir du lycée). Il a dû faire un bac L ou STT, quand moi je m’étais tourné vers la seule voie possible, le Bac S (spé Physique, j’suis pas dingue au point d’avoir fait une spé Maths non plus).

Ca fait bizarre de se prendre plusieurs années de souvenirs ingrats dans la face rien qu’en échangeant quelques mots avec quelqu’un.
S’en suit une discussion, ponctuée de regards et de petits sourires de ma chère mère…

Lui: Ca fait un bail… Tu fais quoi maintenant?
Moi: Bah j’ai commencé des études d’ingénieur à Lille, mais ça a pas marché, et ça me plaisait pas tant que ça. Là, je suis de retour en école de commerce, en apprentissage, à Paris…
Lui: Ha bah… ça va… c’est plutôt pas mal!
Moi: Ouais ça va… Et toi alors?
Lui: Bah… J’ai commencé des études de Philo à Reims, mais ça a pas marché. Je bosse chez Mc Do là, en attendant de voir ce que je vais faire
Moi: Ha… Cool!

Conseil du jour: ne jamais se plaindre d’avoir loupé son école d’ingé et d’être arrivé en ESC sans avoir demandé en premier à la personne perdue de vue depuis longtemps ce qu’elle fait maintenant!

Tout recommence au même endroit…

Il y a un bon cinq ans et demi maintenant, c’est là que suis arrivé. Je suis descendu du train, j’ai vu le panneau au loin, et je me suis dit que je n’aurais visiblement pas trop de mal à trouver.

Le concours (oraux et écrits) de l’Iteem avait lieu dans les locaux de l’ESC Lille. Et c’est là que ma reprise a eu lieu hier matin.

Les rituels sont immuables. Un rendez-vous tôt, un paper board en guise de comité d’accueil, et une feuille disant où se rendre. Ca tranche avec l’ambiance des oraux Passerelle, mais on est bien à l’ESC Lille!

Et bizarrement, très vite, le sentiment d’être à la maison revient. Et il se confirme en voyant les noms sur l’emploi du temps: je suis en terrain connu.

Ca fait du bien de temps en temps d’être à la maison…

J’aime la moule!

Allez, je me confesse… J’aime la moule!

Et je peux vous le dire… Je vais pas me priver ce week-end! Entre les marinières, au maroilles, et les autres… Ca va être la fête de la moule-frite!

Moule

Ceci dit, aller à la Braderie de Lille et ne pas manger de moules, c’est mission impossible! Les restaurants ne servent plus que ça pendant trois jours. A la limite, les plus fantaisistes prévoient du poulet pour celles et ceux qui commettent l’affront de ne pas manger le plat officiel de la braderie.

Une belle occasion de revenir vite dans la ville de mon coeur… Qui est en plus le nec plus ultra de la branchitude en cette année Ch’ti.

La plaie du télé-marketing

C’est quand on est dans une maison avec une vraie ligne fixe, où on a pas pris le temps de dire qu’on voulait pas se faire casser les c******s tous les quatre matins par les télé-marketeux qu’on réalise quelle plaie ça peut être.

En ce moment la grande mode c’est l’habitat, surtout tout ce qui touche au pseudo développement durable et aux économies d’énergie.
En trois jours, j’ai eu le droit… à trois appels. Je sais pas comment mes parents font, moi je pourrais pas supporter ça longtemps!

-Oui, mais t’a bossé dans une boite qui fait du télé-marketing, c’est pour expier tes péchés!

OK, je sort de cinq mois dans une boite qui fait du télé-marketing… Mais la majorité des appels sont quand même en appel entrant… Et la plupart des appels sortants se font sur du client connu.

Là, j’ai eu le droit à tout et n’importe quoi de la part d’entreprises aussi fantaisistes les unes que les autres. Donc qu’on se le dise, je n’ai pas besoin d’une nouvelle chaudière, d’une nouvelle isolation, et encore moins de nouvelles fenêtres. Et le pire, c’est quand on sent que la personne au bout du fil est en train de lire un conducteur de bout en bout et perd ses moyens dès que l’objection sort du cadre prévu.

Faut pas qu’ils se plaignent. Je suis resté bien poli. Quand j’étais petit, j’avais gentillement conseillé à une madame d’aller se faire voir avant de lui raccrocher au nez. Et la méchante a rappelé ma mère (morte de rire) en mentant… en disant que je lui avait dit d’aller se faire foutre.

Les adultes j’vous jure… Faut toujours qu’ils trouvent un côté sexuel à ce que les enfants disent de façon innocente!

Une page de cinq ans se tourne

Les pages se tournent beaucoup en ce moment chez moi.

En fin de semaine dernière, s’est une page de cinq ans qui s’est tournée. Celle de ma vie à Lille.

A peine rentré chez moi après mon stage, je me suis remis au travail pour le déménagement. Mis à part quelques CD, des DVD et des livres, rien n’avait encore été mis en carton. Pareil niveau démontage, mis à part le bureau, tout restait encore à faire!

Et bien, franchement, je comprends pas ces gens qui adorent déménager. Passer une journée et demi dans la poussière, c’est pas le truc le plus funky au monde. Et en plus, quand l’appart que l’on quitte avait des murs en brique… C’est trop la classe la poussière rouge partout 😉

Ca fait bizarre de voir la décoration quitter peu à peu les murs et les meubles, de se rendre compte cette armoire que tout le monde trouvait si imposante n’est en fait qu’un château de cartes… Et en fin de compte, on réalise que sans meubles, l’appart est bien plus grand.

Et j’ai été un grand garçon. J’ai versé aucune larme. J’ai juste failli en laisser couler la veille, en allant au bureau pour la dernière fois. La traversée du Vieux Lille au petit matin, avec une lumière sublime et des trucs déprimants dans l’iPod, ça aide pas à contenir le flot lacrymal.

Lille 23.08.2008

Vendredi matin, le contenu de l’appart était embarqué dans le camion de déménagement en moins d’une heure (montre en main). Direction un autre petit village, 250km au sud…

Goodbye Lille… I’ll be back!

Une page de cinq mois se tourne

Depuis hier soir, mon stage de cinq mois à Lille est officiellement terminé.
Cinq mois, c’est long, mais en fait on les voit pas passer!
Je me suis vraiment bien amusé, j’ai rencontré des gens à la fois hyper-pro et totalement délirants. Un vrai bonheur de se lever le matin (même si c’était parfois un peu dur sur la fin :p ).
En prime, j’ai même eu le droit à quelques cadeaux pour mon pot de départ!

Si vous passez ici, merci à vous pour tout!!
Maintenant, direction de nouvelles aventures. Le déménagement est prévu pour ce vendredi. J’ai donc officiellement une journée pour tout démonter/encartonner/ranger/nettoyer… Et fait mon deuil de Lille.

Bon… Et si je commençais pas aller prendre une douche? 😀

Déménager chez Free – Comment faire faire au client ce qu’on ne veut pas faire

A première vue, y’a pas grand-chose de plus simple que de déménager un abonnement Freebox… On se connecte sur l’interface de gestion, on génère un formulaire de déménagement et un numéro de déménagement. L’abonnement est suspendu sur la ligne initiale à la fin du mois en cours, et on a deux mois pour se ré-abonner avec son numéro de déménagement.

Facile… Trop facile !

Parce que ça, c’est la procédure standard… Les choses deviennent plus fun quand le nouvel appartement n’a pas de numéro connu !
Déjà, il faut commencer par appeler la hotline Free, avec ses conseillers qui parlent à peine français.

Et c’est là que ça devient comique. Comme mon appartement n’a pas de numéro de ligne je dois… Résilier mon abonnement Free, et donc payer 60 euros de frais de résiliation (vu que je suis client depuis un an). Il faut donc envoyer un formulaire de résiliation en recommandé avec accusé de réception (donc, 4 euros et des centimes). Et comme on m’annonce tout ça le 19 et que Free doit avoir reçu le formulaire avant le 20 du mois pour résiliation en fin de mois, j’aurais à payer l’abonnement pour septembre (soit 29,90 euros). Il faut aussi compter l’envoi de la Freebox par recommandé avec accusé de réception (j’ai aucune idée du prix, mais ça doit être dans les 10 euros au moins).

Une fois que les choses sont finies avec l’ancien abonnement, il faut passer au nouveau ! Donc, recommencer une ouverture de ligne Free (avec 20 euros de frais vu que le logement n’a pas de numéro). Il faut aussi prévoir la livraison d’une nouvelle Freebox (Free doit bien aimer payer UPS pour rien) et le temps d’ouverture de ligne… de plusieurs mois sur certains forums Free !

Une fois que la procédure a coûté 10 boites de lexomil, un bras, un ulcère et six mois, on peut demander à se faire rembourser des frais de résiliation…
Pas glop…

Autre solution, non proposée directement par Free : ouvrir une ligne chez France Télécom.< br /> En tarif étudiant, ça revient à 28 euros, plus l’abonnement… Et le temps moyen d’ouverture de ligne est visiblement inférieur à une semaine. Dans ce cas là, on se retrouve avec une procédure de déménagement classique, sans 3 lettres recommandées (résiliation + envoi Freebox + demande de remboursement de frais de résiliation) et le jeu du chat et de la souris avec UPS pour la livraison de la box.

Si Free ne voulait pas se faire chier avec des ouvertures de ligne, ils ne s’y prendraient pas autrement