Retard de bloggage

Bon, et bien voilà, le week-end touche (déjà) à sa fin.
Il m’aura permis de me remettre à jour dans mes posts (donc, pas la peine de me frapper comme je l’avais demandé en cas de non-post).
J’ai piqué l’APN de mes parents ce week-end, je vais donc tenter (si le temps est avec moi) d’aller prendre des photos de Lille (nuit ou jour, on verra en fonction de mon temps libre) et de ses fameux éléphants.
Jusqu’ici…

Superbus

On continue dans la critique d’albums, et même d’albums qui portent des noms qui sont des onomatopées (après Ta-Dah, Wow).
On retrouve donc le groupe de la fille de Chantal Lauby (de Les Nuls) et ses acolytes pour un nouvel opus dans la lignée des précédents.

Comme je l’ai si bien entendu de la bouche de Jennifer, la chanteuse du groupe, en interview il y a peu, Superbus c’est un délire. Il est donc normal que des gens n’accrochent pas du tout. Pour ma part, j’accroche sur certains titres, mais pas tous. Donc, plutôt que de dire du mal des titres qui n’ont pas retenus mon attention, je vais me concentrer sur ceux que j’ai aimé.

On retrouve donc le côté pop franco-us à la sauce bubble gum. Sans conteste, pour moi la meilleure chanson de l’album est le premier single, Butterlfy. Les lecteurs assidus auront d’ailleurs pu noter dès vendredi l’apparition du clip dans un billet.
Butterfly est d’ailleurs rentré directement à la première place dans la liste de lecture « en ce moment » de mon iPod, ce qui veut tout dire.
Elle passe et repasse en boucle (à l’heure où j’écrit ce billet, iTunes en est déjà à 12 lectures au niveau du compteur).

L’album est à conseiller aux connaisseurs de Superbus qui ne seront pas déçus. Pour les autres, le premier single suffira déjà amplement.