Orange et sa notion de la relation client

Je vous avais déjà parlé du traitement de faveur accordé chez Orange aux anciens clients voulant changer de mobile (et de forfait) pour un iPhone. Et bien nos amis d’Orange m’ont beaucoup fait rire samedi. La barre est vraiment placée très haut dans le best of du pire de la relation client.

Ca fait plusieurs semaines qu’un « Numéro Privé » tente de me joindre. Plusieurs fois par jour. Ca a commencé en Angleterre, et comme ça sent toujours la téléprospection, je n’ai pas voulu décrocher. De retour en France, ça a continué pendant les heures de bureau. J’ai finalement pris un appel samedi matin. Voici le compte-rendu de la conversation:

Opérateur : Bonjour, Service Client Orange, Mme Viault ?
Moi : Non, c’est son fils, mais c’est moi qui me sert de la ligne.
Opérateur : Bonjour Monsieur. Je me permet de vous appeler aujourd’hui pour savoir si vous êtes satisfait de votre abonnement Orange. Etes-vous satisfait Monsieur Viault ?
Moi : Heu… oui. Enfin, ma durée d’engagement arrive à expiration..
Opérateur : Oui, c’est pour ça que je souhaitais vous proposer de nouvelles offres !
Moi : Et bien justement, je compte partir chez un autre opérateur.
Opérateur : Pour quelle raison Monsieur Viault ?
Moi : Pour prendre un iPhone, puisque le prix que vous me proposez en renouvellement est trop élevé.
Opérateur : D’accord. Et bien bonne journée, au revoir !

Pour être franc, j’étais scié en deux de sa réponse. Je suis client chez Itinéris puis Orange depuis dix ans, prendre un iPhone suppose que je change de forfait pour un forfait à peu près deux fois plus cher que l’actuel, et on ne me propose même pas de me vendre le terminal au prix auquel les nouveaux clients ont droit…

iphone aout

Comme vous pouvez le voir, un simple iPhone 3G me revient chez Orange à 429 euros, et près de 530 euros pour un iPhone 3GS de 16Go.

Le plus étonnant dans cette histoire reste d’appeler un client dans le cadre d’un programme de fidélité et lui fournir pour seule réponse un rapide « bonne journée, au revoir » quand il lui dit qu’il compte partir. On va à l’encontre de tout ce qu’on peut attendre d’un service client.

Pour septembre, j’hésite encore : SFR ou Bouygues ?

Reprise des programmes

Après une pause pour cause de fin de cours, forte dose de travail et Summer School à Newcastle, l’activité de ce blog va (enfin) reprendre.

Ca va déjà faire un an que je suis à Paris, j’en ai des choses à vous raconter. Et comme c’est les vacances, je vais avoir le temps de le faire !

L’ESC Lille annonce sa fusion avec le CERAM

Une nouvelle importante vient de tomber en cette fin de matinée. Deux écoles supérieures de commerce, l‘ESC Lille et le CERAM vont unir leurs destins pour fusionner et donner naissance à la plus grosse école de commerce de France.

Avec des campus à Lille, Sophia-Antipolis, Paris, en Chine et au Maroc, les écoles vont pouvoir proposer une richesse de parcours unique.

Vous pouvez retrouver l’intégralité de l’annonce sur le blog de Damien Roué.

Jay Brannan live au Sentier des Halles

J’avais déjà eu la chance d’aller applaudir Jay Brannan lors de son premier passage en France en novembre 2008 à la Reine Blanche. Alors, quand j’ai vu via son Twitter que Jay était de retour en France en mai 2009, j’ai sauté sur l’occasion en réservant immédiatement mes places !

jaybrannan

Même si Jay Brannan n’a pas encore sorti de nouvel album depuis son dernier passage en France, je me suis dit qu’il fallait aller le voir… car c’est vraiment un garçon plein de surprises en live. Et bien je ne me suis pas trompé. Pour commencer, entre chaque chanson jay parle… beaucoup !

Dans la liste des ses péripéties en France, on a eu le droit à un long laïus à propos du Vélib’, et de la peur qu’il avait de le prendre en ne sachant pas s’il y aurait une piste cyclable dans sa rue de destination, et sa peur de mourir dans d’affreuses souffrances. Après quelques élucubrations du style « Do you Vélib’ in love after love » ou « I Vélib’ I can fly », Jay nous a offert une autre surprise.

Après avoir transformé son Housewive en Femme au foyer lors de son dernier passage en France, Jay Brannan cette fois-ci osé une reprise de… Céline Dion avec Pour que tu m’aimes encore.

Passé la surprise et les rire du début, faut avouer que même en chantant l’annuaire il serait toujours aussi passionnant !

Même si Jay n’a pas encore sorti de nouvel album… son nouveau bébé est déjà en route ! Il s’agira d’un album de reprises, comprenant aussi deux inédits… dont un qu’il nous a offert en piano/voix.

Denier cadeau, Jay Brannan nous a offert en solo une chanson qui va sortir en duo avec Margaret Cho et qui vante… leur expetise pour le sexe oral 😀

Alors, vous avec déjà hâte de le voir revenir à Paris ? En tout cas, j’y serais sans aucun doute !

David LaChapelle à la Monnaie de Paris

Bon, je ne vais pas y aller par quatre chemins : nous sommes samedi, si vous n’avez pas encore vu l’exposition de David LaChapelle à La Monnaie de Paris, vous devez y aller de toute urgence puisqu’elle ferme dimanche soir.

J’avais voulu aller la visiter le week-end de son ouverture, mais la foule avait refroidi nos ardeurs. Des critiques lues ou entendues ont failli me faire renoncer à l’exposition, qui vaut vraiment le coup.

Autant le dire tout de suite, ce n’est pas l’expo où il faut emmener ses enfants. D’ailleurs, il est précisé à l’entrée que certains visuels peuvent « heurter la sensibilité des plus jeunes ». Il suffit de connaître un minimum David LaChapelle pour savoir que le nu fait partie intégrante de son travail. A la manière d’un peintre classique, il va mettre en scène les corps, en y ajoutant une touche plastique qui correspond totalement à l’iconographie des temps modernes de stars sur papier glacé.

David LaChapelle - Lil'Kim

Le second reproche que l’on peut faire à cette rétrospective est d’être courte. En ayant pris le temps de regarder un des deux films présentés en début d’exposition, il nous a fallu 45 minutes montre en main pour parcourir l’exposition. C’est peu quand on a payé son billet 10 euros. D’autant plus que, mystérieusement, le « tarif jeune » s’arrête à 22 ans.

Malgré cela, on prend beaucoup de plaisir en traversant les treize thèmes de l’exposition. On passe du sacré, à la société de consommation, en passant par les people, les désastres, et le déluge.

Awakened Jesse

Une autre déception : sur cette oeuvre, toute en subtilité… on voyait les traces grossières du nettoyage de la vitre. Un reproche à porter au services techniques de La Monnaie de Paris plus qu’à l’exposition en elle même, mais qui montre un manque de soucis du détail.

Au final, tout de même une exposition très intéressante, riche en références tant iconographiques que sacrées qui tend à nous montrer que la photographie est au XXIème siècle ce que la peinture a longtemps été.

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Devals et Gaudin au Point Virgule

Si vous ne savez pas quoi faire ce mercredi soir, vous vous devez de courir au Point Virgule pour applaudir Devals et Gaudin !

C’est grâce à leur metteur en scène, le charmant Coudy, que j’ai découvert Devals et Gaudin. Habitués de la télé et des caméras cachées, ces deux trublions savent parfaitement jouer l’interactivité avec leur public et faire des allusions à l’actualité.

devalsgaudin

On a eu le droit à un véritable festival d’imprévus pour le soir où nous y étions. Entre un cassage de table au bout de cinq minutes de spectacles, ou celui du groom de porte de la salle de spectacle, Devals et Gaudin ont sû parfaitement mener le spectacle en s’en servant pour nous faire rire encore plus.

Les sketchs s’enchaînent, on rigole beaucoup, Devals et Gaudin improvisent beaucoup. Ils rebondissent sur l’actualité. Il y a déjà quelques temps que je les ai vus sur scène, au moment où Ségolène Royal commençait à s’excuser pour tout le monde. Ils y ont bien entendu fait allusion !!

Devals et Gaudin revisitent avec leur humour burlesque les situations les plus improbables comme un client qui se fait à moitié violer par son prof de self-défense ou cet homme qui ramène une guenon folle de lui d’un safari en Afrique.

Et comme ce sont des artistes en phase avec leur temps, Devals et Gaudin ont leur page Facebook pour rester en contacts avec leurs fans ou leur 

Caroline Vigneaux dans Il était une fée aux Blancs Manteaux

Cette fille est folle… donc absolument géniale! Elle nous embarque dans son monde (magique) pour un peu plus d’une heure de spectacle.

Une jeune fée, la Fée Gaffe, a pris possession du corps d’une jeune avocate, Caroline Vigneaux, en pleine plaidoirie. Pour le meilleur, et pour le rire. La fille unique de la reine des fées va alors découvrir le monde des humains, ses codes, et ses absurdités. Elle va également découvrir l’Amour et l’analyser avec son regard de fée totalement déjantée.

Avec sa baguette magique de fée, Caroline Vigneaux nous fait rire du début à la fin. Magie? Humour? Dur à dire. Sûrement un peu des deux. Elle n’hésite en tout cas pas à aller chercher son public quand elle sent qu’il ne la suit pas.

carolinevigneauxMême si j’ai un peu eu de mal à rentrer dedans les premières minutes, j’ai vraiment beaucoup rigolé grâce à l’humour totalement déjanté de Caroline Vigneau. A force d’interactivité avec la salle, elle a même fini par perdre totalement le fil de son spectacle… dans une désopilante digression pour notre plus grand bonheur !

En prime, la jolie Caroline Vigneaux vous apprendra à parle le Lipin (le lapin pour les non-initié). Pirci qu’illi i iti ilivii pir dis lipins, illi pirli ciirimint liir jilii lingii. Si vous voulez comprendre, vous savez ce qu’il vous reste à faire.

Au passage, je vous conseille de ne pas vous fier à la vidéo disponible sur YouTube. Elle date, et on sent que les sketchs ont été franchement ré-écrits, et que Caroline Vigneaux a gagné en assurance et en maîtrise de son spectacle.

  • Il était une fée
  • Théâtre des Blancs Manteaux, 15 rue des Blancs Manteaux, 75004 Paris
  • Les jeudi, vendredi et samedi à 22h15
  • La fiche sur BilletRéduc.com

[Article sponsorisé] Badoit invite des artistes à table

La célèbre marque d’eau pétillante Badoit mène une nouvelle campagne pour impliquer ses clients dans la création de sa future bouteille de Noël. On le sait, la période des fêtes de fin d’année est propice aux créations les plus originales sur les bouteilles d’eau de table. Certaines marques en font même des objets à collectionner. Pour les fêtes de fin d’année 2009, le packaging badoit compte devenir la star des tables chics.

La marque Badoit a donc fait appel à des élèves des Beaux Arts pour créer une série de visuels afin d’habiller ses bouteilles en verre. Une première sélection a été opérée afin de choisir les vingt meilleurs visuels. Et depuis le 20 avril, les internautes sont invités à se rendre sur le site de Badoit pour découvrir les vingt visuels retenus, et voter pour leur visuel préféré… avec des cadeaux à gagner à la clé. Si vous êtes sélectionné, vous pourrez gagner un week-end pour aller découvrir les trésors artistiques de la Grosse Pomme : New-York! Sinon, 500 bouteilles de Badoit seront également mises en jeu et disponibles en avant première.

De mon côté, mon visuel favori est le numéro 3, de Timothée Talard:

 Vous avez jusqu’au 31 mai pour aller voter. Un jury composé de Henri Jobbe Duval (directeur de Art Paris),  Kamel Mennour (Galeriste parisien), Sandra Muliez (Mécène), Gilles de Burre (Critique d’art) et de représentants de la marque désignera l’étudiant gagnant du prix de 1.000 euros. Les 20 créations sélectionnées seront ensuite exposées lors des journées portes ouvertes des Beaux Arts de Paris, les 26 et 27 juin 2009, puis partout en France dans le cadre d’une exposition itinérante.

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Cindy Sander est de retour avec Le Secret de Nous

Depuis le temps que l’on attendait fébrilement le nouvel opus de la plus décalée des chanteuses francophones…

N’oublions pas que finalement, c’est elle la vraie gagnante de la Nouvelle Star de l’an dernier (et qu’elle vendra sûrement plus de disques que tous les candidats de cette année réunis).

Ceci dit, comme le faisait justement remarquer Titem, en Français « le secret de nous » ça donne « Notre secret »… A moins que cette liberté ne soit au service d’une poésie qui nous échappe.

Allez… Bravo Cindy 😉

[Article sponsorisé] Avec Pumbby, votre portable peut vous faire gagner de l’argent

L’idée de la publicité rémunérée n’est pas nouvelle, surtout sur Internet. L’idée de gagner de l’argent grâce à un service que l’on paye a pris son envol avec l’arrivée du Web dans les foyers. Le modèle classique qui dominait alors était celui de la publicité qui servait à payer un service majoritairement gratuit, comme pouvaient l’être la télévision privée (qui, rappelons-le, ne perçoit pas de redevance) ou les radios.

Ici, l’idée est de monétiser son mobile. Une expérience déjà tentée par un opérateur qui avait lancé un forfait dont les communications étaient financées par des plages de publicité… et qui n’avait pas vraiment marché. Le système proposé par Pumbby est différent, puisqu’il est indépendant du forfait, de l’opérateur, et du téléphone. Les créateurs de Pumbby sont partis du constat que d’après une étude Ipsos MediaCT réalisée pour Pumbby (Mars 2009) : plus de 3 français sur 4 sont équipés d’un téléphone mobile. Partant de ce constat, pourquoi ne pas se servir du téléphone portable comme nouveau canal publicitaire?

Pummby propose aux utilisateurs d’accepter de recevoir des publicités directement sur leur mobile, en payant la visualisation de ces publicités jusqu’à 35 centimes par publicité. On cumule alors ces sommes sur un espace personnel et a ensuite le choix de reverser ses gains sur son compte bancaire par tranche de 20 € ou d’opter pour des cadeaux tels que des places de cinéma, des cartes prépayées, des jeux vidéo en ligne, des DVD, des SMS gratuits, …

Créer son compte est un jeu d’enfant, je l’ai fait en moins de deux minutes. Et en plus, en parrainant des amis, il est possible de ganger un iPhone en ce moment!

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Sauvegardez et synchronisez vos données avec Dropbox

La perte de données essentielles, qui est arrivé à tout ceux qui utilisent l’informatique de façon intensive, est une des pires choses qui puisse arriver. C’est toujours quand on est dans l’urgence qu’on subit un crash de logiciel… ou pire, que le disque dur nous plante.

Il y a bien sûr la solution de la sauvegarde régulière de son disque dur sur un disque dur externe. Mais combien font des backup de leur disque tous les jours? Et puis, si on perd nos données après avoir travaillé pendant une demi-journée sur un fichier important, on ne va pas penser à en répliquer une copie régulièrement.

Pour les mac-users, la version 10.5 de Mac OS X a introduit Time Machine qui permet de sauvegarder en transparence. Mais il faut soit avoir une borne Time Capsule (pour une sauvegarde sans fil) soit travailler en étant branché à un disque dur externe USB ou Ethernet… Au choix : pas économique ou pas pratique!

Si, en plus, on cherche de quoi synchroniser de façon transparente des données dans un environnement hétérogène, les solutions sont peu nombreuses.

Si on veut se passer de l’iDisk du MobileMe d’Apple, Dropbox est une alternative sérieuse et (en partie) gratuite.

Logo Dropbox

Il suffit (sur Mac) de se créer un compte sur le site, télécharger DropBox, le glisser dans son dossier Applications et le démarrer… Il faut alors saisir le mail et le mot de passe utilisé lors de la création du compte, et c’est parti!

icone-dropboxDropbox va installer une icône dans la barre de menus du Mac, et créer un dossier à la racine du dossier utilisateur (avec un raccourci dans la barre latérale du Finder. Tout ce que vous metterez dans ce dossier sera donc synchronisé automatiquement avec votre compte Dropbox, et donc entre les différents ordinateurs sur lesquels vous aurez installé le logiciel.

dossier-dropboxDans sa version gratuite, le stockage est limité à 2Go, mais vous pouvez gagner jusqu’à 3Go supplémentaires en invitant des amis! Sinon, bien entendu, des formules payantes existent pour augmenter la capacité de stockage à 50Go.

Pour en savoir plus, je vous conseille le très bon article de Macgeneration qui a fait un test complet de Dropbox.

Andrew Bird à La Cigale

Magique. C’est ce qui peut le mieux décrire la performance d’Andrew Bird hier soir à La Cigale.

A vrai dire, je ne connaissais pas vraiment l’univers d’Andrew Bird avant hier soir. J’avais écouté son dernier Noble Beast sur Spotify, mais il ne reflète pas toute l’énergie qui se dégage de ce véritable artisan du son en concert. Avec l’oversampling, Andrew Bird donne l’impression qu’il y a plusieurs violons sur scène… alors qu’il était seul à jouer pour la première chanson et son premier rappel.

Andrew Bird en concert en 2007

Accompagné de ses trois musiciens, Andrew Bird jongle avec brio entre violon, guitare et glockenspiel… pour le plaisir de nos oreilles. Sa musique est puissante, riche, pleine de nuance et de force. Pour faire simple, j’ai vraiment adoré ce concert qui m’a transporté dans l’univers de ce chanteur qui siffle dans la plupart de ses chansons.

Si vous ne connaissez pas encore Andrew Bird, je vous recommande largement d’aller faire un tour sur son MySpace. Et si vous tombez sous son charme, il passe à Bruxelles le 9 mai!

On prend le même et on recommence!

Un peu plus d’un mois depuis mon dernier vrai post… Ca commence à sentir le renfermé ici. Et pourtant, il y a eu de la nouveauté.

Pour commencer, le blog qui était avant hébergé sur le nom de domaine www.viault.info vient de migrer sur www.jusquici.fr! Pourquoi? Et bien, après YouOnTheWeb et tous les débats auxquels j’ai participé sur l’identité numérique, je me suis rendu compte que je devais segmenter mon identité numérique.

J’avais un problème de parler à trop de types de personnes en même temps, et donc ne plus intéresser personne in fine… avec aussi un manque de motivation pour écrire. Si vous étiez abonné au flux Feedburner de viault.info, il ne devrait pas y avoir de soucis. En revanche, si le flux est cassé, je vous conseille de vous abonner au flux http://feeds2.feedburner.com/jusquici.

Je suis en train de réfléchir à la création d’un blog plus pro, qui sera sûrement un blog collaboratif autour du Web et du Marketing. Plus d’informations sur ce projet très rapidement.

Dernière ligne droite pour le concours étudiant YouOnTheWeb

T’es étudiant? T’es bloggeur? Tu passes du temps sur le web, et donc à force t’a réussi à t’assurer une certaine visibilité? Que ce soit grâce à Twitter, Viadéo, LinkedIn, Facebook… ton passe-temps Web peut te faire gagner un netbook!

Comment? Grâce à YouOnTheWeb!

Ca fait un petit bout de temps que je vous saoule avec ça vous en parle. Et bien on en a jamais été aussi proche!

C’est ce samedi 28 mars que les locaux de l’ESC Lille acceuillent les rencontres YouOnTheWeb. On va y parler d’identité numérique, de présence en ligne, de RH 2.0… et se pencher sur le cas d’étudiants (peut-être toi qui est en train de lire ça) qui on mit en place une stratégie de présence en ligne.

Pour s’inscrire, rien de plus simple! Il faut aller sur la partie Concours site YouOnTheWeb pour voir les différentes thématiques proposées et remplir le formulaire suivant avant le 26 mars à minuit!

Comme ils disent, au Mélo d’Amélie

Avec plus de 200 représentations et des critiques unanimement élogieuses, Comme ils disent se place dans les valeurs sûres du moment pour passer une bonne soirée. Après un passage par plusieurs théâtre, c’est au Mélo d’Amélie que les deux acteurs de Comme ils disent ont trouvé refuge.

Comme ils disent Cette comédie, très gay de prime abord, réussit à fédérer un public large puisqu’elle nous parle avant tout de problèmes du couple que tout le monde a rencontré, rencontre, ou rencontrera. Des vacances au restaurant en passant par le choix de l’appartement, la séance de bricolage…

Toutes les scènes de la vie de couple sont passées à la moulinette par ce couple que tout semble opposé, entre un prof d’histoire-géo fan de musées et un pseudo agent artistique pour chanteuses mortes qui ne lit que la presse people.

Mais au fond, les opposés s’attirent, et leurs différences nous permettent avant tout de passer un bon moment de rigolade.

Histoire d’une rupture

Dans toute relation, il y a une période ou tout marche bien. On donne, on reçoit, une saine routine s’installe. Quelques ajustements se font de façon régulière, quand les deux y sont prêts. Mais au global, tout roule…

Jusqu’à la rupture.

Depuis quelques temps déjà, la situation était devenue intenable. Mais il m’était difficile de me résoudre à accepter la vérité.

Et lundi dernier, en lançant le moniteur d’activité de mon PowerBook, je me suis rendu compte que c’était bien mon simple Firefox 3 qui me prenait presque 90% de ressources processeur, entraînant une surchauffe quasi-constante et donc une ventilation continue et désagréable de mon Mac.

logo-firefoxAprès avoir quitté Firefox pour Safari de Apple, les ressources processeur mobilisé se sont libérées, et la température a rapidement diminué… jusqu’à extinction des ventilateurs du PowerBook… Forcément, Safari utilise rarement plus de 10% de la puissance de mon vénérable G4!


safari-logo
J’avais déjà remarqué de sérieux problèmes de gestion de la mémoire sur Firefox, avec même parfois du très gros SWAP… Mais là, c’est tout simplement impossible de justifier une utilisation de 90% des ressources d’une machine, surtout sans faire appel à des animations en Flash!

Il manque certes à Safari certains des atouts de Firefox, comme la possibilité de rajouter des extensions, des barres d’outils… mais la bétâ 4 de Safari est un navigateur léger, des plus agréables à utiliser, qui se lance rapidement et affiche les pages bien plus rapidement que le navigateur de chez Mozilla…

En somme, Safari est ce que Firefox était à ses débuts, avant de devenir une usine à gaz au fil des ans.