Le syndrome du provincial qui arrive à Paris

Le week-end dernier, en discutant sur facebook de mon état de santé de ces derniers temps avec un parisien de longue date, je me suis pris (à peu près) cette réflexion dans les dents:

Ha bah ça, c’est le syndrome du provincial qui arrive à Paris : toujours malade et qui compte profiter au maximum de sa vie culturelle!

Bah… à vrai dire, question santé, c’est pas faux! Je suis vraiment pas gâté depuis que je suis ici. On critique souvent le grand Nord, mais les température ont été limite polaires ces derniers temps.

Entre les angines à répétition (toutes les 3 ou 4 semaines, si vous voulez me voir, dépêchez-vous, la dernière date d’une semaine!), la gastro pile avant la crémaillère et le nez en fontaine de ce week-end, c’est pas glamour à Lamarck-Caulaincourt!

Alors, que faire en attendant que mon corps fragile s’habitue? Sortir avec une cagoule, mettre des gants, me désinfecter les mains toutes les quinze minutes, ne plus prendre le métro, porter un masque sur le nez… ou alors manger beaucoup de fruits et attendre que ça passe!

Allez, au pire j’en ai pour combien de temps? Un an à être malade? Rendez-vous en décembre 2009 😉

8 thoughts on “Le syndrome du provincial qui arrive à Paris

  1. Je ne suis qu’un humble banlieusard, et l’arrivée à Paris a surtout été synonyme d’allergies et autres rhumes, angines liés à la pollution… 🙁

  2. On s’habitue… regarde moi… 5 ans de Paris et je tiens ENFIN le coup. C’est la première année où je n’ai été pour l’instant malade que deux fois. Malade veut dire rester dans son lit minimum 1 journée. Les petits rhumes, c’est courant!!! Moi c tous les jours lol

  3. Depuis mon arrivée à Paris, je ne compte plus les soucis de santé (parfois plus graves que le gros rhume), et ça fait 3 ans et demi…
    Ceci juste pour te rassurer…

  4. Tiens c’est marrant moi aussi j’ai commencé à faire des angines à répétition cet été pile pendant ma période de stage à Paris 😉 à croire que ça vient de la pollution de l’air parisien…eh bien non, dans mon cas, c’est dû à mes dents de sagesse qui poussent..comme quoi la sagesse à un prix…des angines à répétition >-<

  5. héhé, tu es un faible! pour avoir été à Paris pendant 3 ans en prépa (et en plus à me taper les trajets tout les jours depuis la banlieue), je n’étais malade que en vacances! et pourtant on ne pourra pas dire que je ne faisais que bosser là-bas, parce que je ne compte pas les visites et les nuits dehors ces années là :p

    j’aime bien cette idée du syndrome du provincial je dois dire :p

  6. Ah oui ce syndrôme du provincial, on m’en a déjà parlé. Un peu comme celui du parisien qui branche son GPS pour aller acheter une baguette à la plage non ? Ou qu’a le vertige en descendant un col en voiture ^^

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